dimanche 29 juin 2014

- I, Frankenstein de Stuart Beattie -


Résumé : 


Adam, la créature de Frankenstein, se retrouve pris par une guerre séculaire sans merci entre les gargouilles et les démons. Adam va être obligé de prendre parti et de s'engager dans un combat aux proportions épiques.

Critique:

C’est assez difficile de déterminer si j’ai aimé ce film car j’ai eu du mal à rentrer dedans. Dans son genre, il est parfait, cliché au possible, pas du tout réaliste et bourré d’effets spéciaux. Sans oublier la grande guerre entre le mal et le bien qui menace l’humanité depuis des millénaires. Si on le regarde d’un peu plus loin, ce film n’a rien mais alors rien d’extraordinaire.

Dès le début, on commence avec les démons, l’eau bénite et toutes autres traditions célèbres. J’étais un peu septique car je n’aime pas trop les films qui manquent d’innovation mais j’attendais de voir s’ils allaient en sortir quelque chose de nouveaux ou pas avant de critiquer. Sans grande surprise, rien de nouveau.
 
Ensuite vient la grande guerre entre les gargouilles et les démons, dit on ne peut plus clairement : « entre le bien et le mal ». Je n’aime pas du tout cette catégorisation, je pense que ce sont ces histoires qui nous amènent à avoir peur de l’autre. D’autant plus que le bien et le mal ne sont jamais aussi bien tranchés, ce film ne nous amène pas du tout à développer notre esprit critique.

***

Bon je ne vais pas m’étendre là-dessus mais il y a toujours la violence exagérée et banalisée. Tuer un policier dans la rue c’est grave mais un démon on s’en fout ! Bon, je ne suis pas particulièrement dans le camp des démons mais il faut arrêter ! Il n’y a que les gentils qui ont le droit de vivre ? Encore une réaction qui nous amène à réagir par la violence sans discuter avec les autres !

Comme tout film à gros budget qui se respecte, les effets spéciaux sont au rendez-vous. Même si ils sont très spectaculaires je trouve qu’ils sont mal réalisés.

Je crois aussi qu’ils se sentent aussi obligés de casser 90% des décors. Au bout d’un moment ça en devient épuisant. Ils ne peuvent pas passer par la porte comme tout le monde ?
Toutes les réactions sont exagérés et les situations ne sont pas crédibles, cela est surement accentué par le jeu d’acteur moyen bof et le scénario très très léger.

Ensuite, quitte à réutiliser le mythe de Frankenstein, à faire un film dont il est le personnage principal, autant faire un vrai beau Frankenstein. Un qui ressemble à une créature composée de huit cadavres, pas un acteur avec trois misérables cicatrices sur le visage et du maquillage noir pour faire un effet sale. Ah non, là vraiment je suis déçue, déjà que je n’aime pas que le cinéma réutilise les mythes et légendes si c’est pour en plus, les déformer, je ne vois absolument pas l’intérêt !

Tout le film est très sombre et très sale, comme si les hommes malheureux qui se cherchent sont obligés de vivre dans les sous-sols pleins de crasse, sympa le message d’encouragement.  Malgré cela, je dois souligner les très beaux décors et la musique qui sont en accord avec le thème et l’époque.

Conclusion :

Un bon film à gros budget avec très peu d’innovations et beaucoup de légendes sont empruntées sans en faire un très bon usage. Rien de nouveau sous le soleil, du vu, revu et rerevu.

Et vous, vous l'avez vu, qu'en pensez vous ?

Prenez soins de vous!

Le film est sorti le 29 mai chez: http://www.metrofilms.com/

Pour des films d'actions: http://www.cinetrafic.fr/film-action-2014

Pour des films fantastique: http://www.cinetrafic.fr/film-fantastique
Source résumé : allociné
Source photo: section cinéma/Philstar.com/ républ33k.fr

jeudi 26 juin 2014

- Blackfish de Gabriela Cowperthwaite -

Résumé :
Tilikum est un orque agressif, en captivité dans un parc aquatique, il a tué trois personnes. A l’aide de témoignages d’anciens dresseurs et d’images d’archives, ce documentaire choc dénonce comment les orques sont traités dans les parcs d’attractions et les conséquences de ce traitement.

Critique :

Ce film met enfin la lumière sur les industries de SeaWorld qui tentent tant bien que mal d’étouffer l’affaire. Avec la présence de cinq orques en France, le documentaire sortira pas dans nos salles obscures le 1er Juillet. Et ne ratez pas le rendez-vous le 29 juin prochain sur Arte pour visionner ce film.

J’avais peur que ce documentaire soit trop militant. D’autant plus que d’habitude, je ne m’intéresse pas trop aux animaux et à leurs conditions de vie. Mais ce film m’a profondément touchée et même profondément choquée.

Dès le début, des anciens dresseurs témoignent pour nous parler de leur relation avec les orques de manière à ce que l’on s’attache à eux. Mais peu après, ils nous présentent comment ces orques ont été capturés et comment ils sont traités. Ils font la comparaison entre leur vie sauvage et leur vie en captivité. Ce contraste est un premier choc, de quoi me dégouter à jamais des parcs aquatiques.

Le second choc arrive très vite. Le documentaire est en partie focalisé sur Tilikum, un orque de plus en plus agressif qui tue trois personnes : une jeune dresseuse du nom de Keltie Byrne, qu’il noya avec l’aide de deux autres orques présentes dans le bassin. Daniel P. Dukes, retrouvé nu, couvert de contusions, sur le dos de Tilikum. Le 24 février 2010, il lacéra littéralement Dawn Brancheau, sa dresseuse. Ces trois meurtres lui vaudront le surnom de : Tilikum, orque tueuse.

SeaWorld, le parc aquatique concerné a été trainé en justice par OSHA (équivalent de l’inspection du travail aux USA). Bien que ces cas ne soient pas isolés, le documentaire raconte comment les affaires ont été étouffées ou tournées en « accident ». Toute l’atrocité et l’hypocrisie de l’homme est dévoilée au grand jour.




Au milieu des témoignages, le documentaire nous présente des bouts d’interviews, des reportages, des spots publicitaires, cela m’a permis de faire la différence entre ce que le parc veux nous montrer et ce qu’il faisait vraiment. Cela m’a permis de mieux faire la part des choses notamment pendant l’enquête.

Moi qui ne me sens pourtant pas vraiment concernée par ce sujet, j’ai vraiment été très touchée par ce film. Les nombreuses images, amateurs ou professionnelles, souvent choquantes et la magnifique musique m’ont permis de bien rentrer dans l’histoire.

Conclusion :


Un documentaire rempli de témoignages forts et d’images chocs qui dénoncent parfaitement la condition des orques en captivité. Je conseille vraiment ce film.



Allez vous regarder ce film ?

Prenez soins de vous!



Source :  Le monde/wftv.com/allociné
http://www.blog-les-dauphins.com/enfance-tilikum-orque-tueuse/
http://www.lesnotesdezelda.fr/?p=20070
http://freedolphinsbelgium.wordpress.com/2013/10/14/blackfish-en-belgique/

Pour en savoir plus :
 http://www.blog-les-dauphins.com/enfance-tilikum-orque-tueuse/
https://www.facebook.com/ZYLO.EDITEUR.DE.FILMS?fref=ts 

Pour savoir quoi faire :
http://www.lesnotesdezelda.fr/?p=20070

Pour une soirée entre fille:
http://www.cinetrafic.fr/liste-film/8091/1/les-films-ideales-pour-soiree-entre-filles

Pour les meilleurs films de 2014:
http://www.cinetrafic.fr/meilleur-film-2014

dimanche 22 juin 2014

Julie est amoureuse de Vincent Diestschy

Résumé :

Un été en Dordogne, une troupe de théâtre tente de monter Roméo et Juliette. Entre histoires d’amour et trahisons, ils ne sont pas au bout de leur peine. A côté, un grand acteur et sa femme vont voir leurs vacances gênées par cette troupe amateur.

Critique :
Je trouvais la pochette très belle mais je n’ai pas du tout aimé ce film.

Je pense que le thème principal de ce film est la relation entre le théâtre et la vie réelle, comment et à quel point le théâtre peut influencer nos vies.

Ce film date de 1998, la bande son est très mauvaise. Cela m’a gênée car je ne comprenais pas tout, il faut dire que les acteurs n’articulaient pas beaucoup non plus. Par contre j’ai adoré la musique classique. Cela renforce le côté campagnard et vacancier.

Ce qui m’a la plus bloquée, c’est le jeu d’acteur qui est très mauvais. Il y avait des intonations mais pas les bonnes et pas au bon moment. Les expressions était trop exagérées ou alors pas présentes. Comme si les acteurs jouaient dans une pièce de théâtre alors que la mise en scène est celle d’un film. Ils jouaient tellement mal que j’avais du mal à me concentrer sur le film.


De plus le rythme du film est très irrégulier, il est trop lent et souvent la dynamique est cassée. C’est surement pour cela que la fin m’a parue longue, j’avais envie d’arrêter avant !

L’histoire est un peu surréaliste et pas très cohérente. Les personnages sont naïfs et impulsifs. Ils se battent pour un rien. Leurs caractères et leurs relations sont bizarres. Les dialogues aussi ne sont pas glorieux.

Cependant j’ai beaucoup aimé l’ambiance, jouant moi-même au théâtre j’ai aimé retrouver cet univers et cette atmosphère familiale et chaleureuse, le stress avant la représentation.

Conclusion :

Pour moi, il y a de bonnes choses mais cela ne suffit pas. Un jeu d’acteur beaucoup trop mauvais et une histoire complètement déstructurée, je ne recommande pas ce film. 

Et vous, qu'en pensez vous?
Prenez soins de vous!

Date de sortie: 4 février
Lien de l'éditeur: http://www.shellac-altern.org/

Pour connaître des films comiques: http://www.cinetrafic.fr/film-comique
En panne de films? : http://www.cinetrafic.fr/film-a-voir
source: cinetrafic /numerama/Liberation next cinéma

dimanche 15 juin 2014

-Sentiment 26 de Gemma Malley-

Résumé:

Dans la cité, après une opération effectuée sur chaque habitant, tous les sentiments ont été effacés. Les habitants sont classés par des lettres, de A Admirable à D Déviant selon leur comportement car le système voit tout et sait tout. Evie; seize ans, va tester les limites de ce système si parfait avec Raffy, son amour d’enfance. Pendant leur combat, ils croiseront la route d’alliés mais aussi d’ennemis qui les aideront à résoudre beaucoup de mystères…

Critique :

Je ne peux pas vraiment donner un avis clair car pour moi, cette histoire se passe en deux parties bien distinctes sur lequel j’ai des opinions très différentes. Mais dans l’ensemble j’ai été plutôt déçue.

 *** 

Tout d’abord, on nous noie dans une intro complexe et qui n’a pas grand intérêt pour la suite.
L’histoire qui s’en suis demande aussi une bonne concentration, le texte n’est donc pas très agréable à lire.

En effet, au milieu d’une histoire et d’une trame narrative plutôt correcte se cachent des lignes et des lignes d’éléments perturbateurs qui n’ont absolument aucun intérêt pour l’histoire, au contraire !
Je m’explique : Evie (la protagoniste) vit dans une société de propagande, il est donc normal qu’on ressente cette propagande dans le récit mais celui-ci en est surchargé ! Cela en devient insupportable, on en perd le fil et je suis certaine d’avoir lu plusieurs pages à la suite qui voulaient dire absolument la même chose ! Je suis d’accord que l’auteur voulait nous faire ressentir ce que vivait Evie mais là elle en fait beaucoup trop !!

De plus, Evie hésite entre deux décisions importantes, deux facettes d’elle-même. Ce dilemme la déchire, à tel point que, comme pour la propagande, l’auteur le mentionne à chaque page. A chaque pensée un peu personnelle, cette hésitation freine l’histoire et remplit des pages et des pages qui veulent dire absolument la même chose ! Ça m’a beaucoup fait penser à Twilight.

Ces « éléments perturbateurs », comme je les appelle, se glissent entre deux lignes, un peu partout, à tel point que je ne comprenais pas l’histoire. Il m’est arrivé plusieurs fois de sauter des lignes ou de tourner des pages. L’histoire part dans tous les sens ! Certains moments manquent d’explications, des raccourcis sont créés trop facilement, il y a donc un manque de cohérence.
Heureusement que cela s’arrête car j’ai failli stopper ma lecture en plein milieu, ce qui m’arrive très très rarement. Il m’a fallu de la persévérance pour continuer face à tous ces moments lents et répétitifs.

***

De plus, à plusieurs reprises, l’histoire et très grossière et pas du tout crédible. Au début, l’auteur donne toute une envergure énorme qu’elle minimise à la fin. Comme si elle avait eu les yeux plus gros que le ventre et qu’elle ne savait plus trop comment se dépatouiller avec tout ça.
Certaines réactions, certains dialogues sont survolés. Les personnages, surtout la protagoniste, sont vraiment idiots ! Il n’y a aucune ampleur et qu’une faible histoire autour de quelques-uns des personnages, et encore !
Les relations sont bâclées, et les solutions aux problèmes posés trop faciles.
L’auteur tente de créer un triangle amoureux mais il est horriblement mal fait car les personnages n’ont pas de personnalité.

L’auteur tente de donner de la profondeur à ses personnages en accentuant leurs faibles traits de caractère mais cela n’amène que de la répétition et de l’ennui.
A la fin de l’histoire, beaucoup de révélations sont faites. Une fois encore, elles sont trop grossières. L’auteur a donné un certain style à son histoire qu’elle n’a pas su mettre en valeur, vraiment ratée !

L’histoire prend beaucoup de temps à démarrer mais une fois qu’elle a commencé, elle est correcte. Correcte mais pas géniale car les erreurs du début du livre, que je viens de vous citer, n’ont pas tout à fait disparu et le style d’écriture est grossier lui aussi.

***
En fait, à la fin j’avais l’impression d’avoir lu un scénario de film. Certains détails/mouvements/réactions sont décrits précisément alors que les dialogues les sous-entendaient parfaitement. Cela rajoute encore une touche aux « éléments perturbateurs ». De plus, le fait que tout soit expliqué en détail enlève toute déduction possible et donc toute magie.

Je n’aime pas du tout le résumé, il ne synthétise pas les bonnes choses et surtout, il ne correspond pas du tout à l’histoire ! En effet, il y a beaucoup d’incohérences dans l’histoire, surement dues à la trame narrative bâclée qui se finit en queue de poisson.

Conclusion :

Je n’ai pas aimé ce livre. Il y a une bonne histoire qui pourrait être pas mal mais trop « d’éléments perturbateurs » ont gêné ma lecture. Celle-ci a été longue et pénible, au final j’ai l’impression d’être restée au point de départ. Même si l’histoire s’améliore en cours de lecture, cela n’a été qu’une perte de temps et d’argent !

Et vous, qu'en pensez vous?

Prenez soins de vous!
Source:Coffee and Books

mardi 10 juin 2014

- Stories We tell de Sarah Polley -

Résumé : 

Sarah Polley réalise son troisième long métrage avec ce documentaire très touchant qui raconte l’histoire de sa famille. Elle découvrira un secret bien gardé qui va changer sa vie à jamais. Avec de nombreux témoignages, Sarah retrace avec douceur et amour sa vie à travers le parcours d’une femme exceptionnelle, sa mère.

Critique :



Ce film est clairement un documentaire. Il vaut mieux le savoir pour ne pas être déçu.

J’ai beaucoup aimé ce film. Si je un seul mot ce serait : douceur.

J’étais plutôt excitée à l’idée de le voir. Je devinais à peu près le sujet : plusieurs personnes parlent de leur vécu et de leur expérience personnelle et tous ces témoignages forment un méli-mélo d’émotions qui racontent une histoire. Mais je dois bien avouer que j’étais curieuse de savoir comment la réalisatrice allait réussir à nous tenir en haleine pendant 1h40 avec la simple histoire de sa famille. D’autant plus que le secret est vite dévoilé.

Malgré un début un peu lent et quelques scènes qui trainent en longueur, je ne me suis pas du tout ennuyée. A ma surprise, j’ai été prise par cette histoire tellement touchante. Je ne connais ni la réalisatrice, ni les films qu’elle a fait, je pense que cela m’a aidé à avoir un regard plus impartial sur son histoire.

On pourrait croire que l’histoire trop personnelle d’une famille ne regarde qu’elle-même et elle n’a aucun intérêt pour le grand public. Dans le film, Sarah le dit elle-même, elle ne sait pas ou mène ce film, à quoi il sert mais elle voulait juste le faire. Je pense que c’est cette simplicité qui fait que ce film est accessible à tout le monde. Elle ne cherche pas à donner un sens précis, à orienter l’histoire selon un scénario, juste raconter l’histoire de sa famille, car elle en a senti le besoin.

Je suis sûre que même en le tournant, elle ne savait pas où elle allait. Comme le dit si bien un des personnages : « Quand on est au milieu d’une histoire, ce n’est pas du tout une histoire mais seulement une confusion […] C’est plus tard qu’elle devient une histoire quand on la raconte à soi-même ou à quelqu’un d’autre ».

Ce film est une sorte de voyage philosophique qu’il serait, j’en suis sûre, très intéressant d’étudier. Je pourrais vous sortir des dizaines et des dizaines de phrases extraites du film, qui m’ont marquée.

La mère a une très belle place et une belle représentation, pas parfaite, au contraire, mais juste en tant que mère.

Dans ma version de DVD le film n’est possible qu’en vostfr et les sous-titres ne sont pas très bons…

Je pense que ce qui fait la force de ce film c’est qu’il est très personnel, très humain et cela change des films que j’ai l’habitude de voir.

Les histoires et les images d’archives très réalistes aident à rentrer dans l’intimité et la douceur de cette famille.

Les différents témoignages, des enfants par exemple, sont intéressants car ils permettent d’avoir plusieurs points de vue sur une même personne. Malgré les différences des récits on retrouve des points communs, je trouve cela très beau. Les récits sont vraiment personnels, je le ressens et je n’ai eu aucun mal à les croire sincère. J’ai ressenti un vrai lien entre eux alors qu’on les voit très rarement ensemble. Le regard des hommes sur une femme qu'ils ont profondément aimée est particulièrement touchant.


Ce film a un semblant de « pas fini ». En effet on en voit plus ou moins le making off : On la voit filmer les membres de son histoire en train de témoigner pour la réalisation d’un film. On voit les différents essais de prises de son. On est des deux côtés de l’écran : réalisateurs et spectateurs. Cela enlève la barrière du film et je suis rentré complètement dans cette famille comme si j’en faisais partie.

Quand j’ai senti la fin approchée, je n’avais qu’une envie : en savoir plus sur cette famille, cela m’a surprise, je ne pensais pas pouvoir m’attacher si vite à une famille que je venais juste de rencontrer.

La réalisatrice a dû faire preuve d’un courage immense pour nous parachuter au sein même de sa famille et du génie pour que l’on s’y sente à l’aise.

L’histoire de la famille est un peu compliquée à saisir de temps en temps, cela retransmet surement la complexité de leur rapports.

Au final ces personnes ont su mettre les mots justes sur des situations qui peuvent arriver à toutes les familles. Sans les minimiser ou les embellir, juste en dire ce qu’ils pensaient.

Conclusion :


Un très beau documentaire, plein de douceur. On rentre au cœur d’une famille, comme rarement. Je le conseille fortement !

Prenez soins de vous !

Date de sortie: 20 mai
Pour plus d'info:
https://www.facebook.com/ZYLO.EDITEUR.DE.FILMS?fref=ts

Pour voir les films de 2013:
http://www.cinetrafic.fr/film-2013

Pour voir les films à voir:
http://www.cinetrafic.fr/film-a-voir
source photo:Allociné/Les critiques cinéma de piwi /collider/Cinevue